mardi 16 mai 2017

Phobos Origines, de Victor Dixen.

Titre : Phobos Origines.
Auteur : Victor Dixen.
Éditeur : Robert Laffont – Collection R.
Nombre de pages : 300.

Résumé :
« Ils incarnent l'avenir de l'Humanité.

Six garçons doivent être sélectionnés pour le programme Genesis, l'émission de speed-dating la plus folle de l'Histoire, destinée à fonder la première colonie humaine sur Mars.
Les élus seront choisis parmi des millions de candidats pour leurs compétences, leur courage et, bien sûr, leur potentiel de séduction.

Ils dissimulent un lourd passé.

Le courage suffit-il pour partir en aller simple vers un monde inconnu ?
La peur, la culpabilité ou la folie ne sont-elles pas plus puissantes encore ?
Le programme Genesis a-t-il dit toute la vérité aux spectateurs sur les " héros de l'espace " ?

Ils doivent faire le choix de leur vie, avant qu'il ne soit trop tard. »

Mon avis :
Je dois bien avouer que mon avis est un peu partagé ici, puisqu’il s’agit d’un prequel, et que je n’aime pas trop ça. Ici, comme bien souvent, je trouve que ça ne sert pas à grand-chose.

Alors je vais énoncer tout de même par les points positifs ; j’ai aimé qu’on retrouve chaque personnage un à un. Dans la trilogie initiale, on a tout de même souvent les mêmes personnages qui reviennent, et c’est vrai qu’on a pu découvrir les histoires des filles à travers Léonor, mais pas celle des garçons. L’erreur est réparée ici.
Certaines sont intéressantes, notamment celle de Mozart, qui m’a fait bien plus apprécier ce personnage. Et je suis très curieuse de l’histoire de Kenji, qui est tout de même très particulière, et m’a donné un tout autre regard sur ce personnage que j’appréciais déjà.


Mais en règle générale, je n’y ai trouvé aucune information qui m’ait parue absolument indispensable pour la suite de l’histoire, surtout que le seul rebondissement m’avait été spoilé. Alors je ne vais pas m’étendre ici, pas parce que ce livre est mauvais, mais parce que j’ai vraiment un problème avec les prequel, et ça ne m’intéresse pas. Origines est pour moi, tout au plus, une manière de développer l’univers déjà connu.

1 commentaire: